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Ces deux êtres d’action, impliqués dans leur collectivité, n’appartenaient pas au même monde social : elle issue d’une famille cossue de Beloeil et lui d’une famille ouvrière. C’est leur engagement qui les a réunis. Ils se sont rencontrés par leur implication sociale dans les JEC (Jeunesse étudiante catholique). « On était deux jeunes, à 22, 24 ans, revendicateurs, on n’acceptait pas cette société-là. On voulait changer le système politique, on voulait changer les gouvernements», écrit Simonne dans son récit autobiographique.

mercredi, 19 janvier 2005 19:00

Histoire d’une ville…

Ce jour-là, Oscar Perron, le postillon de Chambly, débute sa tournée. Il fait son travail, été comme hiver et cette journée de janvier, qui s’annonce une des plus froides de l’hiver, ne l’empêchera pas d’effectuer sa « run ». Respirant l’air froid, il attelle son cheval à sa carriole rouge, dépose le courrier à ses pieds, s’emmitoufle d’une couverture de fourrure et file livrer son courrier. Il a grandi au village de Chambly Bassin et connaît bien son monde.

En 1969, un Chamblyen, Denis Hérron, est repêché par les Draveurs de Trois-Rivières. Il ne sait pas qu’un jour, il défendra les buts du Canadien de Montréal, son plus grand rêve. Denis Hérron est ensuite repêché par les Penguins de Pittsburgh, une nouvelle équipe de la Ligue nationale depuis 1967. Jouant tour à tour pour les Penguins et dans la ligue américaine, il fait une apparition aux Championnats du Monde pour Équipe Canada en 1978.

mercredi, 13 octobre 2004 20:00

Une femme marginale au 17e siècle

En 1704, le onzième gouverneur de Montréal, Claude de Ramezay, a à sa charge plusieurs fonctions importantes dont celle de défendre la colonie contre les attaques des colonies anglaises au sud et de protéger les intérêts français dans la région environnant les Grands Lacs. Quand il meurt en 1724, criblé de dettes, il laisse dans le deuil sa femme Marie-Charlotte Denys de La Ronde, fille d’une des grandes familles de la Nouvelle-France et de nombreux enfants. Néanmoins, Ramezay leur lègue, entres autres, les seigneuries de Sorel, Ramezay et Monnoir ainsi que deux moulins, dont un érigé à Saint-Mathias. C’est sa fille, Louise de Ramezay, une femme marginale pour son époque, qui exploitera la scierie familiale.

mercredi, 25 août 2004 20:00

Parcs à la mémoire de bâtisseurs

Le Parc Sainte-Marie, tout comme la rue Sainte-Marie, sont nommés ainsi à la demande de Jean-Baptiste Briand (1901-1975), un promoteur immobilier, pour honorer la Vierge Marie. M. Briand fait du lotissement à Chambly dans les années cinquante. Il fait don de deux terrains à la ville de Chambly sur lesquels les rues Sainte-Marie et Saint-Jean se retrouvent.

mercredi, 11 août 2004 20:00

Anne Le Seigneur, une fille du roi

Au début du XVIIe siècle, plusieurs expéditions, dont celle de Champlain, amènent des colons qui s’établissent dans la seigneurie de Chambly. Les poussées iroquoises, qui menacent les établissements français, forcent le roi à envoyer, en 1665, les troupes du régiment de Carignan-Salières. La fin de la guerre franco-iroquoise en 1667 ramène la paix et 29 lopins de terre sont accordés. Le roi Louis XIV veut pousser le peuplement de sa nouvelle colonie et envoie en Nouvelle-France les filles du roi. Anne Le Seigneur, née en Normandie, débarque donc à Québec en 1667.

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