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jeudi, 11 avril 2019 09:42

Élections partielles: les candidats potentiels évaluent les possibilités

 

La course électorale au poste de maire de Chambly se dessine alors que les candidats potentiels sont toujours en réflexion et que l’ancien conseiller Steeve Demers se dit ouvert à la possibilité de briguer la mairie aux prochaines élections partielles du 23 juin 2019.

 

Bien que sa décision ne soit pas encore prise, M. Demers est toujours sûr d’avoir quelque chose à offrir de positif aux Chamblyens et compte donner sa réponse la semaine prochaine. « Ce n’est pas l’envie qui manque! J’ai l’expérience pour y aller à 100 miles à l’heure, mais je dois voir si ça concorde bien dans ma vie personnelle. Chose sûre je serai de l’élection , soit pour le poste de conseiller du district 8, soit pour la mairie. », a-t-il précisé en entrevue au Chambly matin.

 

Une publication d’un citoyen sur la page Facebook Le vrai Chamblyen qui suggérait la conseillère Alexandra Labbé, du parti Démocratie Chambly, au poste de mairesse a suscité beaucoup de réactions chez les internautes. Mme Labbé s’est toutefois abstenue de commenter cette publication.

 

Après avoir annoncé la candidature de Mme Julie Daigneault au poste de conseillère du district 8, le parti Démocratie Chambly compte présenter un postulant pour la mairie en début de semaine prochaine.

 

L’actuel maire suppléant du parti Action Chambly, Jean Roy, s’est dit lui aussi en réflexion pour ce poste qui le tente indéniablement. « Je ne suis pas ici comme maire suppléant par manque d’intérêt, on ne se le cachera pas. Je suis encore en réflexion, mais je garde la porte ouverte », a-t-il annoncé en marge du dernier conseil de Ville.

 

Le conseiller indépendant Richard Tétreault s’est quant à lui dit ouvert, mais qu’il voulait prendre le temps d’y penser plus sérieusement.

 

La conseillère maintenant dissociée du parti Action Chambly, Paula Rodrigues, n’aurait pas l’intention pour l’instant de se présenter, notamment à cause d’un certain climat de contestation qu’elle juge virulent et blessant. «Je comprends que c’est une joute politique sauf que je me dis qu’on est dans une ère nouvelle où le harcèlement psychologique n’est plus acceptable et c’est pourtant ce que je ressens à mon travail », a expliqué la conseillère Paula Rodrigues en entrevue.