« L'an passé, quand le Parti libéral était dans l'opposition, il se souciait de la réussite des élèves et il était d'accord pour tenir une commission parlementaire. Maintenant que les libéraux sont au pouvoir, ils coupent dans les services, ils ne veulent même pas écouter les groupes pour voir les conséquences de leurs coupures. Avec un taux de décrochage de 25%, comment le ministre peut-il renier la réalité et abandonner les élèves? » a-t-il demandé.
Le ministre, pour justifier son refus de tenir une telle commission parlementaire, a affirmé que la rentrée scolaire s'est pourtant très bien déroulée. « Le ministre vit au pays des licornes et des arcs-en-ciel pour voir la situation en rose comme ça! Les parents sont inquiets pour leurs enfants. Ils sont inquiets de savoir comment seront suivis leurs enfants au cours de l'année scolaire, alors qu'on annonce des coupes dans l'aide aux devoirs, dans l'embauche de spécialistes, dans la promotion de la lecture, etc. » a martelé Jean-François Roberge.
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