Chambly Matin - Journal le Chambly Matin, Montérégie Quotidien

Repêché en sixième ronde par le Canadien de Montréal lors du repêchage 2004 de la Ligue nationale de hockey, le gardien de but marievillois Loïc Lacasse a impressionné lors de son rappel avec les Bulldogs de Hamilton, ces dernières semaines.
Lacasse a en effet connu de bons moments dans la Ligue américaine de hockey à l’occasion de son rappel par les Bulldogs de Hamilton, club-école du Canadien. En huit matchs avec l’équipe, le gardien de 22 ans a remporté six victoires, dont deux par blanchissage. Il a maintenu un excellent taux d’efficacité de .922 et une moyenne de 2,07 buts accordés par match. Lacasse a notamment réalisé 28 arrêts lors de son deuxième jeu blanc contre les Monsters de Lake Erie, probablement sa meilleure performance. Malgré ce rendement, le directeur général du Canadien, Bob Gainey, a annoncé mercredi dernier le renvoi de Lacasse des Bulldogs vers les Cyclones de Cincinnati, dans la Ligue de la Côté Est. Cette décision est survenue suite au retour de Carey Price dans l’alignement du Canadien après sa blessure et par ricochet celui de Marc Denis avec les Bulldogs. La performance de Lacasse pourrait toutefois faire réfléchir l’état-major du Canadien, qui pourrait l’utiliser comme deuxième gardien l’an prochain à Hamilton. À 6'2'' et 175 livres, il faut dire que le Marievillois possède un gabarit intéressant. Étant à la deuxième année d’un contrat de trois ans, il devra s’assurer de bien terminer l’année avec Cincinnati pour que le Canadien décide de lui offrir un nouveau contrat à titre de joueur des Bulldogs pour la saison 2009-2010. Si les récents succès du gardien de but ont fait jaser, la saison de Lacasse avait pourtant mal commencé. En cinq matchs avec Cincinnati, il a tenu une moyenne de 4,10 et un taux d’efficacité de .874. Le Marievillois a aussi subi une entorse au genou qui l’a tenu à l’écart du jeu durant plus d’un mois en début de campagne. À son retour à la mi-décembre, il a été rappelé à Hamilton pour seconder Cédrick Desjardins mais n'a pas joué. Après avoir passé quelques jours à la résidence familiale de Marieville pendant les fêtes, il est retourné à Cincinnati et a gagné son premier match, avant d'être rappelé une fois de plus suite aux événements qu’on connaît.

Les employés de la banque CIBC de Chambly se souviennent sûrement de la date du 6 février 2007. Ce jour-là, un homme entre dans la banque, dépose un sac par terre et informe une employée qu’il s’agit d’une bombe. Il demande ensuite l’argent de la caisse, qui compte environ 2 000 $, et quitte les lieux, en laissant derrière lui son sac…de vêtements. L’individu commet le même type de vol deux semaines plus tard dans une autre succursale de la CIBC, à Beloeil. Le 15 janvier dernier, les enquêteurs de la Régie inter-municipale Richelieu-Saint-Laurent ont finalement mis la main sur l’homme en question, Patrick Nadeau, 24 ans, de Longueuil. Lors des deux vols, un large déploiement policier et des périmètres de sécurité impressionnants avaient été établis. À chaque événement, les artificiers de la Sûreté du Québec avaient été demandés en assistance afin de vérifier le contenu du sac (une valise la deuxième fois) et sécuriser les lieux. Les techniciens en scène de crime avaient ensuite procédé à l’analyse des lieux, ce qui a permis d’identifier, près de deux ans plus tard, l’ADN de M. Nadeau. Détenu, l’homme a comparu au lendemain de son arrestation.

La butte à glisser de Chambly, située au parc Robert-Lebel, offre une pente enneigée d’une longueur de 110 pieds et d’une dénivellation de 32 pieds, représentant une pente de 30 %. En traîne sauvage, en traîneau, sur une chambre à air ou sur un tapis luge, le plaisir et les émotions sont garantis. Recouverte de neige artificielle, la butte à glisser est éclairée sur les deux versants permettant des aires réservées, dont un côté uniquement pour la planche à neige et l’autre pour les sports de glisse traditionnels. Aménagée de façon sécuritaire, la butte à glisser demeure un site libre et sans surveillance. Il est donc recommandé aux adultes d’accompagner leurs enfants et de les habiller chaudement, car la butte est exposée aux vents.