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mardi, 18 décembre 2018 08:26

Jean-François Roberge confirme le retour des services au CLSC de Richelieu

Jean-François Roberge, député de Chambly et le CLSC du Richelieu. Jean-François Roberge, député de Chambly et le CLSC du Richelieu.

Le ministre de l’Éducation et député de Chambly, Jean-François Roberge, confirme le retour prochain du service de sans rendez-vous au CLSC de Richelieu ainsi que la bonification des heures d’ouverture du soir et des fins de semaine. Les usagers devront par contre s’armer de patience, car le retour du service est prévu d’ici les deux prochaines années.

Malgré un emploi du temps très chargé avec les nombreux projets de loi sur la table, M. Roberge s’est entretenu avec la ministre de la Santé et des Services sociaux, Danielle McCann, qui lui a confirmé que le projet allait de l’avant.

Une autre promesse phares du député de Chambly pendant la dernière campagne électorale, l’ajout d’un secondaire 4 et 5 à Chambly, suivant un agrandissement des infrastructures, est aussi en route.

« En ce moment la demande est acheminée dans mon ministère. Je ne sais pas si nous allons l’entériner dans la première année, mais la construction va débuter à l’intérieur du premier mandat », expliquait-il. Parmi les défis que pose cette mesure, M. Roberge compte bien d'abord évaluer les besoins démographiques de la Ville.

Déjà bien au travail, le nouveau ministre planche actuellement sur plusieurs projets de réforme dans le milieu de l’éducation, tel que la centralisation des pouvoirs de décision aux mains des directions d’écoles plutôt que dans les commissions scolaires.

« Je travaille avec tous les acteurs du réseau pour que les décisions se prennent dans les écoles. Quand tu connais les élèves par leur nom, par leur difficulté et leur besoin, tu orientes les décisions de manière optimale et plus efficace », disait M.Roberge

Au retour des Fêtes, le ministre aura l’occasion de déposer son premier projet de loi, qui vise à mieux encadrer les frais facturés aux parents d’élève. Une zone grise dans la précédente loi avait permis aux commissions scolaires de percevoir en trop plus de 150 millions de dollars qui devront être remboursés par le gouvernement. « Ce projet de loi sera déposé en février et mettra en place des balises claires sur la facturation des frais de scolarité pour s’assurer qu’une situation comme celle-ci n’arrive plus jamais », expliquait le député de Chambly en entrevue au journal.

Félix Lebel