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lundi, 21 juillet 2025 05:00 | Publié dans la rubrique Arts et spectacles
Un air d’été : quatre spectacles gratuits à Marieville
Cet été, la Ville de Marieville invite la population à profiter de sa série de spectacles extérieurs Un air d’été, présentée dans le cadre de la programmation Fêtons l’été !
Chaque jeudi à 19 h 30, du 31 juillet au 21 août, le parc Édouard-Crevier, situé à l’angle des rues du Pont et Claude-De Ramezay accueillera une sélection d’artistes d’ici.
Une programmation musicale pour tous les goûts
31 juillet
Blue Ridge Band : Originaire de Lévis, ce groupe électrise les foules avec un savant mélange de chansons originales et de reprises new-country. Une soirée festive garantie !
7 août
Jeanick Fournier : Gagnante de Canada’s Got Talent, l’artiste à la voix puissante rend hommage aux grandes voix du monde dans un spectacle sensible présenté en formule trio.
14 août
Martin Deschamps : Véritable bête de scène, ce chanteur emblématique promet une performance inoubliable mêlant rock, humour et émotions.
21 août
Kevin Parent : Pour souligner les 30 ans de Pigeon d’argile, l’auteur-compositeur-interprète offre un concert intime et chaleureux, entre confidences, rythmes et nostalgie.
Ambiance conviviale sur place
Un service de bar et de tacos sera offert lors des spectacles, au profit de la Maison des jeunes l’Adrén’ado de Marieville.
Début de la construction du centre Guyon
Le centre horticole Guyon débutera officiellement la construction de ses installations jeudi lors d’une cérémonie qui aura lieu pour souligner l’événement.
Le projet, initié et réalisé par André Dion (Fondateur de la brasserie Unibroue) et ses fils Jean-François et Sébastien Dion, a nécessité des investissements totaux de près de 8 million de dollars. Une fois en marche, le centre devrait embaucher plus de cinquante personnes.
Quelque 110 000 mètres carrés de superficie seront nécessaires à l’aboutissement du projet qui devrait comprendre un bâtiment principal, une grange historique, un ferme animale, des jardins thématiques ainsi qu’une boutique d’artisanat québécois.
Le projet vise à diffuser les connaissances agricoles et environnementales des Amérindiens et des premiers colons d’Amérique dans le respect de l’environnement.
Deux agents immobiliers de Chambly au Rallye Aïcha des Gazelles
L’aventure, qui risque d’être enrichissante pour les deux femmes, coûte quand même quelque 40 000 dollars. Loin de se décourager, les deux femmes injecteront chacune 5 000 dollars et proposeront à des compagnies de les commanditer pour 30 000 dollars: « Si tout se passe bien et que nous dépassons nos objectifs, nous verserons le surplus au Relais pour la vie de la Société canadienne du cancer » ajoute Nathalie Campagna.
Bières et Saveurs: passeport à rabais
Les citoyens de Chambly peuvent se procurer le passeport de quatre jours pour le festival Bières et Saveurs de Chambly, au montant de 18 $, en présentant la carte Accès ou une preuve de résidence. Les passeports sont en vente chez Bassin en fête, situé 2320, boul. Industriel à Chambly ou à la billetterie lors de l’événement qui se déroulera du 4 au 7 septembre. Notons qu’un billet pour une journée coûte 10$ et qu’un passeport pour les quatre jours revient à 25 dollars en prévente pour tous ceux qui n’habitent pas sur le territoire de la municipalité de Chambly.
Afin de contribuer à la réussite de cet événement, la Ville de Chambly accorde à l’organisme une subvention de 19 500 $, offre un soutien technique et des services d’une valeur 16 899 $ et alloue une aide financière de 5000 $ pour la réalisation de trois activités s’inscrivant dans la programmation du 400e anniversaire du passage de Champlain, pour une participation totalisant 41 399 $.
La fête Bières et Saveurs c’est près de 120 kiosques de bières artisanales, de micro brasseries, d’importation, de vins, de cidres, de spiritueux, de produits agroalimentaires, du terroir et de restauration. Chaque année, c’est près de 65 000 visiteurs qui se donnent rendez-vous sur le site du Fort Chambly sur le bord de la rivière Richelieu.
La dépendance Internet traitée en centre
Aux Etats-Unis, un centre de désintoxication d’un nouveau genre vient d’ouvrir. On n’y traite ni la dépendance à la drogue ou à l’alcool, mais aux jeux vidéo et à Internet. Durant six semaines, les patients ont droit à un concentré de vie rêvée. Loin des exercices virtuels de la Wii, on y pratique la relaxation et le sport en plein air. On y inculque quelques bonnes pratiques nutritionnelles et on y fait le point sur le parcours scolaire et professionnel. Surtout, l’encadrement promet une reprise en main psychologique totale. Le tout pour la modique somme de 14 500 dollars.
Toutefois, ce genre de centre n’est rien si l’on compare l’arsenal déployé en Asie, où la dépendance numérique est d’ores et déjà considérée comme un problème de santé publique majeur. Selon une étude réalisée l’an dernier par l’Association internet de la jeunesse chinoise, plus de 10 millions des 100 millions d’adolescents chinois souffriraient d’une dépendance virtuelle. Pour eux, quelque 400 centres de désintoxication numérique ont fleuri dans le pays, selon le China Daily.
Les centres chinois recourent à des thérapies plus musclées, dans un style très militaire, pour détourner les jeunes des écrans. Le mois dernier, le ministère de la Santé a interdit l’usage des électrochocs, après qu’un psychiatre eut administré ce traitement à plus de 3 000 patients dépendants.
Les jeux vidéo conduisent-ils à ces comportements de repli sur soi ou les accompagnent-ils ? La question n’est toujours pas tranchée. Malgré ces réserves, les ouvertures de centres, où la dépendance numérique est soignée comme une maladie, sont une solution prisée.