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lundi, 05 mai 2025 05:00 | Publié dans la rubrique Sports
Nombre record d’inscriptions pour la Course familiale de Chambly
Ce dimanche avait lieu la 14e édition de la traditionnelle Course familiale de Chambly au Parc des Cascades où plusieurs coureurs et familles sont venus pour encourager l’activité physique.
Symptômes de la listériose: Comment savoir?
Avec la mise en garde du ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, Gerry Ritz, que le nombre de cas suspects et de cas confirmés de listériose pourrait augmenter au cours des prochaines semaines au Canada, à la suite de la contamination d’aliments contenant des viandes préparées Maple Leaf, plusieurs personnes se demandent quels sont les symptômes de cette maladie qui a joué un rôle dans la mort de 12 personnes au pays au cours des dernières semaines. Selon l’agence canadienne d’inspection des aliments, les symptômes sont, entre autres, des symptômes pseudo-grippaux, des nausées, des vomissements, des crampes, de la diarrhée, des maux de tête, de la constipation et une fièvre persistante. Ils apparaissent habituellement de 2 à 30 jours, et parfois jusqu’à 70 jours, après la consommation de l’aliment contaminé.
Promouvoir les producteurs du Québec
La 2e édition du Salon du Goût Slow Food avait lieu à Marieville les 14 et 15 juin derniers et plus que jamais, les visiteurs ont pu découvrir les petits producteurs artisans québécois, en ces temps de crise alimentaire mondiale. « C’est un moyen extraordinaire pour rapprocher les agriculteurs des consommateurs et des transformateurs, leur permettre de se faire connaître auprès d’un plus large public, encourager la sauvegarde des économies locales et favoriser la biodiversité alimentaire, » a conclu Françoise Kayler, porte-parole du mouvement Slow Food, active tout au long du Salon. La cinquantaine d’exposants présents, venus plusieurs régions du Québec, ont grandement apprécié leur contacts directs avec les visiteurs, intéressés à en savoir davantage sur la production agricole et ouverts à découvrir nouveaux produits et nouvelles saveurs. Ainsi, plusieurs artisans étaient en rupture d’inventaire à la clôture de l’événement, confirmant bien l’intérêt des visiteurs pour les produits du Québec. Les visiteurs étaient tout aussi heureux de leur présence au Salon. « Pour profiter au maximum de ma présence ici, j’aurais dû prévoir le double du temps tellement il y a des artisans à rencontrer, des conférences intéressantes et des produits à déguster », a déclaré Valérie Garnier lors de l’événement. Au total, plus de 4 000 personnes se sont présentés au salon, un achalandage de 35 % augmenté par apport à l’an dernier.
Tendance vers la viande bio
De plus en plus de gens consomment bio et la viande n’échappe pas à cette tendance. Selon la Fédération d’agriculture biologique du Québec (FABQ), la production biologique connaît une forte croissance depuis les dix dernières années dans la province, et ce, dans l’ensemble des secteurs de production. Au Québec, la production de viande biologique est diversifiée (bovins, vaches, veaux, porcs, poulets, agneaux et œufs de consommation). On dénombre également des producteurs de dindes, de canards, d’oies, de chèvres, de lapins et de grands gibiers biologiques.Chaque production animale a ses particularités quant aux soins vétérinaires, aux techniques d’élevage, aux normes environnementales et à la mise en marché. L'élevage biologique exige que les animaux bénéficient de conditions de vie naturelles: air frais, lumière du jour, espace pour faire de l'exercice, alimentation équilibrée, composée de grains et de produits exempts de pesticides ou d'engrais chimiques. Évidemment, pas question d'utiliser d'hormones de croissance, d'antibiotiques ou d'organismes génétiquement modifiés (OGM). Ce traitement doit toutefois se payer plus cher sur le marché, alors que la viande biologique peut parfois se vendre jusqu’à 90 % plus cher que la viande d'élevage industriel. Une différence qu'on justifie par les coûts plus élevés qu’amènent les meilleurs soins.
Oui aux tomates…du Québec !
Alors que de plus en plus de restaurateurs se tournent vers les tomates du Québec, Santé Canada souhaite rappeler à la population l'importance de manipuler et de préparer adéquatement les tomates fraîches afin de prévenir toute intoxication alimentaire. Les tomates fraîches des champs et les autres fruits et légumes ne contiennent pas à l'état naturel de bactéries qui peuvent nous rendre malades. Comme les tomates poussent à proximité de la surface du sol, le fruit peut être contaminé pendant la culture par le sol, par de l'eau contaminée, par des animaux sauvages ou domestiques ainsi que par du fumier insuffisamment composté. Des bactéries peuvent aussi être transférées dans le fruit pendant et après la récolte au moment de la manutention, de l'entreposage et du transport. Santé Canada conseille de toujours se laver les mains avant de manipuler un fruit ou un légume frais. On doit aussi laver les tomates sous un faible jet d'eau fraîche courante et écarter toute tomate qui présente des flétrissures ou des marques de pourriture. Rappelons que depuis la mi-avril, 145 personnes ont été intoxiquées à la salmonelle en mangeant des tomates des États-Unis chez nos voisins du sud. De ce nombre, 23 malades ont dû être hospitalisés.