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mercredi, 30 avril 2025 05:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales
Québec investit 164 283 $ pour soutenir l’intégration des personnes immigrantes dans Chambly
Jean-François Roberge, député de Chambly, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, M. Jean-François Roberge, est fier d’annoncer en son nom et au nom et de Mme Suzanne Roy, députée de Verchères, ministre de la Famille et ministre responsable de la Montérégie, un soutien financier de 164 283 $ dans Chambly pour appuyer un projet, en collaboration avec l’organisme POSA/Source des Monts.
L’énergie de guérison
La physiothérapeute italienne francophone Maria Liliana Grill animera une rencontre sur le thème de la guérison, le jeudi 7 mai prochain de 19h à 21h30 à la boutique Les Arômes Karoma de Chambly. Présentée comme une guérisseuse, Mme Grill finalise un doctorat en théologie à la Faculté protestante de Rome, pour lequel elle rédige une thèse sur l’énergie de guérison. Une femme dont la vie a basculé en 1990 lors d’un accident de voiture qui l’a menée à passer une année entière dans le coma, lors duquel elle pouvait percevoir les pensées et les rêves des personnes de son entourage. C’est aussi à ce moment qu’elle a commencé à voir les auras. Pour inscription ou information contactez Lyne Beaudry au 450-715-3328. Les gens intéressés auront l’occasion de réserver un rendez-vous d’une heure pour un soin avec Maria Liliana Grill.
Les Aliments du Québec : un logo d’impact
Une étude dévoilée mercredi sur les ventes d’une quinzaine de produits alimentaires dans quatre épiceries de la Montérégie, dont le marché IGA de Chambly, démontre que les produits affichant le logo « Aliments du Québec » voient leurs parts de marché augmenter en moyenne de 2,8%, une hausse importante. L’étiquette « Aliments du Québec », que l’on voit de plus en plus sur divers produits dans les marchés d’alimentation, aurait ainsi un impact significatif sur le comportement des consommateurs. Aux fins de la recherche, on a considéré à la fois des produits très populaires et d'autres dont la part de marché était plus modeste. Les résultats étaient semblables. Alors qu’un produit détenant 6% du marché voit sa part grimper à près de 9%, un autre dominant le marché à 60% peut la faire passer à près de 63%. Pour François Coderre, titulaire de la Chaire Bombardier de l’Université de Sherbrooke qui a réalisé l’étude, l'accroissement constaté est très significatif sur le plan statistique. La directrice générale d'Aliments du Québec, Lyne Gagné, a réagi avec enthousiasme à la nouvelle. « On a enfin des données probantes qui nous encouragent à miser plus que jamais sur cette marque identitaire», a-t-elle déclaré.
Les Chamblyens récupèrent plus et produisent moins d’ordures
Le maire de Chambly Denis Lavoie a dévoilé hier en point de presse les plus récentes données sur la collecte des ordures et le recyclage. Des statistiques encourageantes qui démontrent que les citoyens font leur part.
Alors que les matières recyclables représentaient 21% des matières collectés en janvier 2007, cette proportion est passée à 23% un an plus tard, puis à 30% en janvier dernier. Malgré l’ajout de 400 portes et de plus de 1 100 résidents depuis deux ans, Chambly a non seulement réussi à diminuer la proportion en ordures de son tonnage total, mais son nombre de tonnes d’ordures produites; 479 tonnes en janvier 2007 contre 413 tonnes en janvier 2009. En comparaison, le tonnage des matières recyclées est passé de 124 à 177. « Je suis très fier que la population ait suivi le mouvement. L’arrivée des nouveaux bacs de 360 litres a motivé les citoyens de Chambly à recycler. Les changements des derniers mois, le bac pêle-mêle et la collecte des ordures aux deux semaines sont des indicatifs qui ont encouragé les citoyens à poursuivre leurs efforts », a souligné le maire Lavoie.
Ça ne tourne pas rond
C’est un printemps bien gris pour un ciel si bleu. À vrai dire, le malaise se fait sentir depuis le début de l’année 2009, quand le tragique drame familial de Saguenay a secoué le Québec le soir du Jour de l’an. Depuis ce temps, on assiste à une multiplication des histoires tristes qui finissent mal. Piedmont, Laval-des-Rapides, St-Élie-d’Orford, Matane et tout récemment les deux fillettes retrouvées sans vie à Laval. Six drames familiaux en moins de trois mois. Treize morts, dont huit enfants. Huit ! Ça ne tourne pas rond. On nous dira bien qu’il y a toujours quelque chose d’insaisissable, quelque chose qu’on ne peut pas comprendre. On nous parlera de dépression et de boisson, d’un effet d’entraînement et de la crise économique. On nous fera la leçon des réalités impossibles à saisir car impossibles à vivre. C’est vrai. Mais comment peut-on se résoudre à accepter l’inacceptable ? Il me semble que si la décision d’enlever la vie à un être humain est tragique, celle d’enlever la vie à un enfant est impardonnable. D’être rendu au point où la personne considère que c’est la seule décision à prendre.