Manchettes locales
Des élèves pompiers d’un jour
Le Service de sécurité incendie Chambly – Carignan invite les élèves des écoles primaires de Chambly et Carignan à participer au concours Pompier d’un jour, en faisant parvenir un dessin portant sur le thème La prévention des incendies. Les gagnants seront invités à passer la journée du mercredi 4 mars en compagnie des pompiers à la caserne. Une œuvre par catégorie (élèves de maternelle à 2e année; 3e et 4e année; 5e et 6e année) sera choisie par un jury composé des employés du Service. Le dessin doit être en couleur sur un papier ou carton de format 8 ½ par 11 po. Les élèves peuvent utiliser le médium désiré. Les œuvres doivent être transmises avant le jeudi 26 février. Tous les détails en communiquant avec le service de sécurité incendie.
Lettre d’opinion - Agitation célèbre à Chambly
Dans une note transmise au journal, un citoyen de Chambly rétorque à l’ex-conseiller municipal Jean-Paul Grégoire :
« Bien que vous méritiez votre retraite, vous ne pouvez pas vous en prendre au maire actuel et aux citoyens irrespectueux d'Action Chambly qui le supportent durant les assemblés, sans en subir les contrecoups. Votre ancien chef de parti daigne toujours de revenir reprendre son siège à l'hôtel de ville, même ayant été battu par un juge et de multiples avocats par une seul voie. Est-il repentant de ce qu'il a fait sans consulter les citoyens, comme les trois carrefours giratoires? Ou de ce qu'il n'a pas fait, comme voir partir le bureau assurance-emploi et ne pas implanter un centre communautaire pour les artistes et aînés? Ne pas mettre en valeur la zone du Fort-Chambly, ou empêcher l'établissement de nouveaux commerces en protégeant sa vieille garde de la Chambre de commerce? Pourtant, vous étiez présent aussi à cette époque révolue pour administrer nos taxes. Il serait donc temps que vos amis se lèvent et vos anciens partisans se fassent entendre.
Le décrochage scolaire augmente en Montérégie
Le taux de décrochage scolaire est passé de 19 % à 23 % l’an dernier en Montérégie. Les chiffres sont à ce point inquiétant qu’il y aura une commission parlementaire du gouvernement du Québec sur le dossier cette année.
Même si les résultats de la Commission scolaire des Patriotes (CSP), qui couvre les établissements scolaires de Chambly, n’ont pas encore été dévoilés, il semble que la CSP soit mieux placée que d’autres en ce qui concerne le décrochage, selon le porte-parole Pierre Laverdure. « Nous avons un plan d’action, des méthodes et des procédures pour aider les milieux moins favorisés. Cela dit, je peux vous confirmer que certaines commissions scolaires de la Montérégie ont plus de difficultés que nous concernant cette problématique. Il faut dire qu’il existe un lien direct avec l’indice socio-économique », a mentionné hier M. Laverdure lors d’une entrevue téléphonique. Selon ce dernier, la CSP annoncera d’ici deux semaines ses chiffres officiels ainsi que les moyens qu’elle souhaite prendre pour encourager les jeunes à demeurer à l’école. Le 19 janvier dernier, la Commission scolaire des Patriotes a publié son rapport annuel 2007-2008, dans lequel la problématique du décrochage n’est pas évoquée.
Les policiers de Saint-Jean demandent l’arbitrage; la Ville réagit
Alors que la Fraternité des policiers et policières de Saint-Jean-sur-Richelieu demande l’arbitrage pour le règlement de sa convention collective, la direction générale et le conseil municipal de Saint-Jean dénoncent la rupture des négociations et l’attitude « non constructive de la Fraternité ». Dans un communiqué émis cette semaine, l’employeur soutient qu’il est faux de prétendre qu’il est le seul responsable de la situation actuelle. La Ville affirme au contraire avoir acquiescé à plusieurs demandes du syndicat. « En début de négociations, l’employeur a tenté de négocier sur la base des intérêts (…) En cours de route, les représentants de la Fraternité ont quitté la table de négociations. En 2007, le syndicat a exigé le retrait à la table du directeur de police, le représentant de l’employeur, pour continuer la discussion. L’employeur a acquiescé à ce moment-là. » Concernant les changements de représentants patronaux autour de la table de négociation, la Ville mentionne que ceux-ci sont survenus suite au départ consécutif du directeur des ressources humaines et du directeur de police et que depuis ce temps, la Fraternité a fermé la porte aux négociations.
Le suspect de la CIBC arrêté
Les employés de la banque CIBC de Chambly se souviennent sûrement de la date du 6 février 2007. Ce jour-là, un homme entre dans la banque, dépose un sac par terre et informe une employée qu’il s’agit d’une bombe. Il demande ensuite l’argent de la caisse, qui compte environ 2 000 $, et quitte les lieux, en laissant derrière lui son sac…de vêtements. L’individu commet le même type de vol deux semaines plus tard dans une autre succursale de la CIBC, à Beloeil. Le 15 janvier dernier, les enquêteurs de la Régie inter-municipale Richelieu-Saint-Laurent ont finalement mis la main sur l’homme en question, Patrick Nadeau, 24 ans, de Longueuil. Lors des deux vols, un large déploiement policier et des périmètres de sécurité impressionnants avaient été établis. À chaque événement, les artificiers de la Sûreté du Québec avaient été demandés en assistance afin de vérifier le contenu du sac (une valise la deuxième fois) et sécuriser les lieux. Les techniciens en scène de crime avaient ensuite procédé à l’analyse des lieux, ce qui a permis d’identifier, près de deux ans plus tard, l’ADN de M. Nadeau. Détenu, l’homme a comparu au lendemain de son arrestation.
Cent pieds de plaisir en famille
La butte à glisser de Chambly, située au parc Robert-Lebel, offre une pente enneigée d’une longueur de 110 pieds et d’une dénivellation de 32 pieds, représentant une pente de 30 %. En traîne sauvage, en traîneau, sur une chambre à air ou sur un tapis luge, le plaisir et les émotions sont garantis. Recouverte de neige artificielle, la butte à glisser est éclairée sur les deux versants permettant des aires réservées, dont un côté uniquement pour la planche à neige et l’autre pour les sports de glisse traditionnels. Aménagée de façon sécuritaire, la butte à glisser demeure un site libre et sans surveillance. Il est donc recommandé aux adultes d’accompagner leurs enfants et de les habiller chaudement, car la butte est exposée aux vents.