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mercredi, 28 décembre 2016 11:00

Entente de principe entre Chambly et les pompiers

La Ville de Chambly et ses pompiers on conclu une entente de principe le 20 décembre dernier pour une nouvelle convention collective. Cette nouvelle entente devra ête approuvée par les pompiers et par le conseil municipal. La municipalité a publié un communiqué suite à ces négociations qui n'ont pas toujours été faciles.

«La Ville de Chambly réfute vivement les inexactitudes qu’affirme le conseiller syndical du Syndicat des pompiers et pompières du Québec, monsieur François Morin, dans le cadre d’un article diffusé par l’Agence QMI le 9 juin 2016. La dernière retraite d’un pompier remonte au mois de novembre 2014 pour un employé qui comptait plus de 40 ans de service. Il n’y a donc pas eu aucune retraite forcée. Pourquoi écrire une telle chose, sinon vouloir répandre des chimères ?

Un seul membre du personnel de ce Service a été congédié parce qu’il n’avait pas respecté les règles de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) et qu’il avait menti à son employeur, ce que l’employé a reconnu. Encore une fois, pourquoi des chimères ? Dans ce cas, la Ville a pris ses responsabilités pour assurer le respect des règles de la CNESST. Le syndicat a décidé de contester cette décision, ce qui est son droit. Par contre, lorsqu’une vidéo démontre les gestes commis, cela peut déranger monsieur Morin.

Il n’y a eu aucun départ du côté des employés cols bleus. Monsieur Morin met de l’avant de faux propos sur leurs conditions de travail. Encore une fois, pourquoi invente-t-il une situation qui n’existe pas et il n’est même pas leur délégué syndical. Il est important de savoir que la Ville de Chambly possède un taux de rétention de son personnel d’environ 95 % et qu’aucune plainte n’a été déposée au Service des ressources humaines concernant le Service d’incendie.

Dans le cadre de la négociation du renouvellement de la convention collective, les clauses normatives ont une entente de principe de part et d’autre. Cependant, c’est sous les conseils de monsieur Morin, que le Syndicat des pompiers a décidé de se retirer des négociations et d’aller en arbitrage au moment d’aborder les clauses monétaires. Il n’y a eu aucune contre-offre de déposée par monsieur Morin, une manière peu commune de fonctionner dans une telle situation. Monsieur Morin contribue par son comportement à créer un climat acrimonieux qui ne reflète en rien les relations que la Ville de Chambly entretien avec l’ensemble de ses pompiers et pompières. Il tente d’envenimer les négociations par un comportement syndical archaïque et dépassé des années 70 qui n’ont plus leur place en 2016.

La Ville de Chambly réitère sa confiance dans l’ensemble de son personnel du Service d’incendies, les pompiers et pompières, les cadres et son directeur. C’est monsieur François Morin, par son comportement et ses propos, qui semble vouloir envenimer les négociations comme s’il n’avait pas à cœur la qualité du service offert à la population de Chambly. Ce conseiller syndical, qui n’est pas un pompier en service à Chambly, quittera après les négociations. Ce n’est pas lui qui vivra avec l’attitude négative qu’il aura semée sur son passage à Chambly !»