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mercredi, 30 avril 2025 05:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales
Québec investit 164 283 $ pour soutenir l’intégration des personnes immigrantes dans Chambly
Jean-François Roberge, député de Chambly, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, M. Jean-François Roberge, est fier d’annoncer en son nom et au nom et de Mme Suzanne Roy, députée de Verchères, ministre de la Famille et ministre responsable de la Montérégie, un soutien financier de 164 283 $ dans Chambly pour appuyer un projet, en collaboration avec l’organisme POSA/Source des Monts.
« Richelieu est une ville morte » - François Villeneuve
François Villeneuve, citoyen de Richelieu depuis 35 ans, a des idées plein la tête. Frustré par le travail du maire Jacques Ladouceur, il compte se présenter comme son successeur lors des prochaines élections municipales, en novembre prochain. François Villeneuve, un Richelois de naissance impliqué dans la communauté, assiste régulièrement aux séances du conseil municipal. Et il en a marre du maire Ladouceur. « Le maire est carrément absent. Il ne prend pas le temps d’écouter ses concitoyens. Il n’y a pas de communication entre lui et les Richelois », a indiqué hier le futur candidat lors d’un entretien téléphonique. M. Villeneuve, qui a été pompier durant une dizaine d’années à Richelieu et maintenant journalier à Montréal, donne l’exemple de l’étude de Raymond Chabot Grant Thornton commandé par le maire Ladouceur, au coût de plusieurs milliers de dollars, alors que les recommandations des citoyens impliqués dans les différents comités de la Ville n’ont pas été entendues selon lui. M. Villeneuve affirme avoir déjà bien des idées en tête pour le développement de sa ville natale. « Des idées qui ne coûteraient pas trop chers », souligne-t-il.
Un enfant, une place, demande Bertrand St-Arnaud
Le député de Chambly Bertrand St-Arnaud invite les parents en attente d’une place en services de garde éducatifs pour leur enfant à faire part de leur témoignage et à signer une pétition par le biais du site Internet www.unenfantuneplace.org. Le Parti québécois espère que ce site deviendra un incitatif pour que le gouvernement libéral crée de nouvelles places en garderies. « Il faut savoir qu’investir dans le développement de places en services de garde éducatifs, c’est investir dans le capital humain. Récemment, le rapport de Jacques Ménard sur le décrochage scolaire disait que le réseau était un atout important pour le Québec en matière de persévérance scolaire et que le Québec tirera des bénéfices importants de son investissement dans le réseau des services de garde », a souligné mardi le député de Chambly en compagnie de la députée d’Iberville, Marie Bouillé. Bertrand St-Arnaud ajoute qu’il s’agit d’un non-sens que le gouvernement n’ouvre pas davantage de places en cette période de mini baby-boom au Québec, ce que partage la chef du PQ Pauline Marois. « Le Québec vit actuellement un mini baby-boom. C’est une excellente nouvelle.
Cent trente-huit donneurs de sang à Marieville
La dernière collecte de sang d’Héma-Québec à Marieville, qui se tenait vendredi dernier au Club de l’âge d’or, a permis d’amasser 138 dons, soit plus de 90 % de l’objectif de la collecte, établi à 150 dons. C’est le Club Optimiste et Les Outils N.A.P. Gladu de Marieville qui parrainaient cette collecte, aidés par plusieurs bénévoles et commanditaires. Alors que les besoins en sang sont constants, seulement 3 % des Québécois admissibles au don de sang contribuent à la réserve collective gérée par Héma-Québec pour les hôpitaux du Québec et leurs malades. Chaque année, les hôpitaux du Québec utilisent plus de 450 000 produits sanguins, transfusés à 80 000 malades. Héma-Québec doit prélever un minimum de 1 000 dons par jour afin de subvenir aux besoins de la population québécoise.
Une sucrerie pour se remonter le moral ?
Le contexte économique actuel contrevient-il à une saine alimentation ? C’est du moins la réalité en France, alors qu’une récente étude démontre que 75 % de la population affirme laisser le plaisir guider leurs décisions alimentaires en ces temps de récession. C’est qu’il semblerait que le fait de déguster un petit plaisir sucré remonterait le moral. Alors que plus de six Français sur dix se disent affectés d’une manière ou d’une autre par la crise économique, plus de huit sur dix soutiennent que la recherche de la convivialité et du partage deviennent primordiale dans le contexte actuel, en particulier lors des repas. Selon l’étude en question, réalisée en début mars par l’institut BVA auprès de 1 000 personnes, la crème glacée est le produit sucré qui profite le plus de la crise en France, loin devant les pâtisseries. Ceci dit, les Français n'en restent pas moins exigeants, alors qu’ils sont 68 % à déclarer vouloir le meilleur rapport qualité/prix dans leurs achats, en particulier dans l'alimentaire. Mentionnons que selon le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie, l’augmentation des prix alimentaires a été fortement ressentie par les consommateurs depuis septembre 2007.