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mercredi, 30 avril 2025 05:00 | Publié dans la rubrique Manchettes locales
Québec investit 164 283 $ pour soutenir l’intégration des personnes immigrantes dans Chambly
Jean-François Roberge, député de Chambly, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, M. Jean-François Roberge, est fier d’annoncer en son nom et au nom et de Mme Suzanne Roy, députée de Verchères, ministre de la Famille et ministre responsable de la Montérégie, un soutien financier de 164 283 $ dans Chambly pour appuyer un projet, en collaboration avec l’organisme POSA/Source des Monts.
Marieville a le vent dans les voiles
Développement immobilier, surplus budgétaire, gel des taux de taxes et étalement urbain, Marieville vit des jours prospères malgré un contexte économique difficile. Et l’avenir s’annonce plein de promesses.
Alors que le développement de Marieville s’accélère, le plus grand projet domiciliaire de l’histoire de la municipalité, Le Domaine des Ruisseaux, en est pour quelque chose. Inauguré en novembre 2007, le projet est en avance sur son échéancier. « Le projet (NDLR : qui inclut la mise en chantier de 800 habitations sur cinq ans dans le secteur est de la ville) devrait permettre à la Ville d’accueillir encore cette année de nombreux nouveaux arrivants », lance le maire Michel Marchand dans la dernière édition de l’Info municipal. Après avoir équilibré son budget à quelque 9,6 M$ en 2008, l’administration marievilloise prévoit aujourd’hui des revenus de l’ordre de 11,2 M$ pour l’an dernier, ce qui excède de plus d’un million les prévisions pour les dépenses (10,1 M$). Grâce aux revenus non prévus et reçus, tels que les droits sur mutation immobilière et les revenus en taxes dus à la venue de nouvelles propriétés, Marieville a pu injecter un peu plus d’un demi-million provenant du surplus de 2008.
Promenade historique : une réponse au plus vite
Le maire de Richelieu Jacques Ladouceur n’avait toujours pas reçu de nouvelle de sa demande de financement auprès du ministère des Affaires municipales, jeudi, pour la réalisation du projet de promenade historique. En entrevue, le maire Ladouceur a dit espérer obtenir réponse à sa demande dans les plus brefs délais, surtout que l’offre du plus bas soumissionnaire, prolongée de six mois en fin-novembre dernier, arrivera bientôt à échéance. « Est-ce qu’on va pouvoir débloquer des fonds à l’intérieur de l’échéancier ? Je n’en suis pas certain. Chose certaine, ce serait frustrant de se retrouver dans une situation où l’on obtiendrait tout le financement, mais que l’offre ne tiendrait plus », a indiqué le maire Ladouceur, ajoutant que la lenteur des paliers gouvernementaux suite aux élections fédérales et provinciales n’avait certainement pas aidé à faire avancer le projet. « Il ne reste que quelques semaines avant que les coûts de l’offre en question ne tiennent plus. Ce serait plate de revenir en règlement d’emprunt », a mentionné le maire, inquiet. « Nous avions un dialogue mais tout a semblé ralentir dernièrement avec la sortie du budget.
« Jean Charest a trompé les Québécois » - Bertrand St-Arnaud
Le député de Chambly Bertrand St-Arnaud a prononcé la semaine dernière son premier discours à l’Assemblée nationale dans le cadre du débat portant sur le message inaugural de la première session de la 39e législature. Lors de son allocution, M. St-Arnaud s’en est pris au premier ministre Jean Charest, l’accusant d’avoir trompé les Québécois lors de la dernière campagne électorale sur trois points: l’existence d’un déficit budgétaire, la baisse du montant de la péréquation versé au Québec et les pertes de la Caisse de dépôt et de placement. Le député a ainsi rappelé que le premier ministre avait indiqué lors de la campagne qu’il n’y aurait pas de déficit, que la diminution de la péréquation pour le Québec ne serait que de 75 millions et que les Québécois n’avaient aucune raison de s’inquiéter des pertes appréhendées à la Caisse de dépôt et placement. « Or, une fois la campagne électorale terminée, les Québécois ont appris exactement le contraire. Premièrement, qu’il y aura un déficit dès cette année. Deuxièmement, que le manque à gagner en péréquation sera non pas de 75 millions mais bien de 1 milliard. Puis, que le rendement en 2008 de la Caisse de dépôt serait de moins 25 %. »
Un Mouvement Montérégie français ?
Après le Mouvement Montréal français, les citoyens de la région pourraient assister à la naissance du Mouvement Montérégie français, d’ici la fin du mois de septembre prochain. L’un des hommes derrière l’initiative, Michel Gagnon, de Saint-Basile-le-Grand, a mentionné hier être confiant que le Mouvement se développe, quoique rien ne soit certain pour l’instant. « Il n’y a rien d’officiel, mais on est positif. L’organisme demeure embryonnaire. Nous avons un exécutif temporaire jusqu’à l’assemblée générale. Un lancement pourrait être possible en septembre. Est-ce qu’on serait indépendant ou une division du Mouvement Montréal français ? Ça reste à voir ». M. Gagnon ajoute que le territoire que couvrirait le Mouvement, de la Rive-Sud à la Montérégie élargie, reste à définir. Michel Lepage, candidat dans Borduas pour le Parti indépendantiste aux dernières élections provinciales, a pris part à la première réunion des initiateurs du projet la semaine dernière. « On parle d’un organisme apolitique, pour n’importe qui ayant à cœur la promotion de la langue et de la culture française en Montérégie.