Chambly Matin - Journal le Chambly Matin, Montérégie Quotidien

Il y a des ces nouvelles que l’on entend moins parler dans les médias occidentaux, mais qui font la manchette partout ailleurs. C’est le cas du Myanmar, là où le chaos est le plus total présentement. La semaine dernière, des moines bouddhistes ont mené des manifestations populaires à Rangoun, la principale ville du Myanmar, pour contester l’absence de libertés, l’approche autoritaire du gouvernement, le déclin de l’économie et la dégradation des systèmes de santé et d’éducation. La junte militaire birmane, qui contrôle le pays, n’a pas accepté ces manifestations à l’origine pacifistes (ai-je dit qu’il s’agissait de moines bouddhistes ?), et s’est mise à tirer « dans le tas ».

Comme l’a laissé entendre un dossier paru dans le journal La Presse dernièrement, la variété des sandwichs que l’on place dans les boîtes à lunch des étudiants, jour après jour, aide à éviter la routine gastronomique. Et vous, que mettez-vous dans vos sandwichs ? L’important, c’est la diversité. Avec des tomates, de la salade verte ou du concombre, le sandwich contribue à l’objectif nutritionnel d’au moins cinq fruits et légumes par jour, ce qui est déjà bien. Ajoutez-y une tranche de jambon et de fromage et voilà, vous retrouvez vos quatre groupes alimentaires dans un seul sandwich qui vous permettra de mieux passer la journée. Qu’il soit au jambon, au poulet, aux oeufs, au thon ou au saumon, l’important est de ne pas toujours manger la même chose, jour après jour. Un sandwich qui est certainement à essayer est aux tomates, dans un pain aux olives noires; absolument délicieux. Et comme accompagnement? Les légumes, c’est toujours bien, à part si on les associe systématiquement aux trempettes et à la mayonnaise. Vaut mieux exploiter les moutardes, beaucoup moins grasses. Mais un sandwich seul ne suffit pas à composer un dîner parfaitement équilibré.

Imaginez. Vous êtes un athlète aux Jeux Olympiques de Vancouver, en 2010. Dans une discipline individuelle. Vous remportez la victoire, devant les vôtres. Vous montez sur la plus haute marche du podium. C’est la gloire. À la télé, dans les journaux, dans votre entourage, tout le monde veut un peu de vous. Le moment auquel vous aviez toujours rêvé. Mais à l’intérieur, c’est le vide le plus total. Ç’a été trop facile. Vous ressentez que la majorité de vos concurrents ont consenti dix fois plus d’efforts que vous. Pourtant, la médaille en or, c’est vous qui l’avez. Un profond malaise s’empare de votre intérieur. Vous souriez modestement mais au fond, vous voudriez fondre en larmes. Parce que vous vous rendez compte, soudainement, que vous n’aurez jamais l’occasion de vivre le moment tant attendu. 

Le régime Low-Carb fait fureur aux États-Unis. Il semble même que dans les allées des supermarchés de nos voisins du sud, les produits allégés ont été supplantés par des aliments avec la marque « Low-Carb ». Mais est-ce que ce régime est vraiment efficace ? Low carbohydrates signifie pauvre en glucides (sucre). Le régime consiste à réduire tous les sucres rapides et les produits qui contiennent des sucres lents, tels que le pain, le riz les pâtes, etc. Ce régime a donc le même effet que n'importe quel régime hypocalorique : s'il est suivi, il va réduire l'énergie consommée, et permettre une perte de poids en graisse. C’est le bon côté. Le mauvais, par contre, c’est que le fait d'éliminer les sucres rend ce régime très monotone, et donc très difficile à suivre sur le long terme.